Phosphène

Créa­tion 2003

© Georges Glikmans

Court solo

Les che­veux, les bras et les jambes sont revê­tus d’un col­lant noir. Les mains, cachées dans ce tis­su, sont absentes. Des lam­beaux pro­longent les bras. Le corps est comme réfré­né, dis­tor­du, alté­ré dans ses fonc­tions. La ges­tuelle, épu­rée mais aus­si déman­ti­bu­lée, marque le tiraille­ment d’un être face à un choix impos­sible à faire.